dimanche 22 mars 2020

18 - Un vol de Medellín à Capurgana


Avant la traversée de la jungle depuis le débarcadère jusque chez Quentin, dont voici la photo, nous avions eu le privilège d'arriver à Capurgana en avion !
Ce petit coucou nous épargné la journée de car et la traversée du golfe d'Uraba dans la tempête depuis Necocli. Nous étions cinq passagers, un pilote et un copilote.





Alice était déjà malade, mais sur cette ligne les contrôles sanitaires sont inexistants.
Le vol dure 1h30. Marie-Céleste a remarqué que les joints des hublots étaient défraîchis et que les essuie-glaces rivalisaient avec ceux des 2 CV de mon enfance.




Vue du ciel, la mer qui nous attend pour la traversée en pirogue...

Mais, en plongeant dans la jungle, vous découvrez une jolie piste vite désertée par les patineurs, les skateurs et les joggeurs. Les bâtiments ont beaucoup d'intimité pour vous accueillir.











A l'arrivée, Quentin n'était pas là ! Il n'avait pas entendu l'avion atterrir et nous le rencontrons sur le chemin de l'embarcadère qui n'est pas très carrossable pour les valises à roulettes...
Alice qui était un peu sonnée, il faut le dire, a été interloquée (apparemment) par l'allure bohème de son oncle très couleur locale. Alice est une citadine brestoise évidemment.














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